Polemique autour d’une chanson contre le code électoral liant l’artiste Gbèzé : citée au cours d’une émission radiophonique dans l’affaire, Juliette Gbaguidi réagit

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“Qu’on arrête de mélanger mon nom à ça. Cherchez les auteurs entre …”, elle parle de la condamnation de l’artiste

Impliqué dans une polémique liée à une chanson sur le code électoral, l’artiste Gbèzé a fait objet d’une émission sur une radio station de la place. Au cours de ladite émission des auditeurs ont appelé en direct pour apporter leur soutien à Gbèzé comme quoi la chanson objet de polémique autour du code électoral serait un pure montage dans l’intention de nuire à l’artiste. Fortuitement l’émission aurait viré à un procès contre Juliette Gbaguidi qui a une affaire en justice avec l’artiste en question. Un des auditeurs aurait affirmé que peut-être c’est dame Juliette Gbaguidi qui aurait commandité ce montage dans le but de se venger contre Gbèzé. Interrogée sur le sujet par votre webmedia “benin-news”, Dame Juliette Gbaguidi informe qu’elle n’a rien à voir dans cette histoire et que les gens feraient mieux de ne plus coller son image aux “bêtises” de l’artiste. “Moi je ne suis pas une lâche pour procéder comme eux ils pensent. Quand je ne suis pas contente je sais taper les mains sur la table”. Elle ajoute : “Le bonhomme a fait la même chose avec moi Juliette Gbaguidi en plaçant ma photo sur tik tok, me traitant de pute qui couche avec des chiens en France. Mais quel béninois s’est levé pour dire ce n’est pas bon? C’est parce que moi je viens d’un arbre? Je ne suis pas une personne?”

Très remontée Juliette Gbaguidi s’insurge contre le fait que des Béninois soutiennent l’artiste dans ses sales manœuvres qui consistent à insulter les gens à travers ses chansons. “Quand on sait chanter vraiment, ce n’est pas injurié son prochain” a-t-elle souligné mentionnant que maintenant qu’il a fait la même chose au chef de l’État, ses soutiens cherchent un bouc émissaire pour endosser la responsabilité. Elle invite ses soutiens à réécouter les 2 versions de la chanson (celle chantée pour Yayi et celle objet de critique). “Je suis Mahi. La première chanson qui agite aujourd’hui les lèvres comme quoi, c’est un montage, a loué Yayi Boni. Il a fait l’éloge de Yayi demandant à ceux qui parlent de 3e mandat de s’afficher. Est-ce que c’est la même chose qu’il a dit sur Talon ? Arrêtez un peu de le soutenir dans le faux”. Pour finir elle souligne : “Qu’on arrête de mélanger mon nom à ça. Cherchez les auteurs entre “les mains invisibles” dont parle souvent l’artiste en se bombant le torse que la justice ne peut l’inquiéter ici au Bénin. Ces mains invisible qui l’ont peut-être aidé à ce que le tribunal ne le condamne pas avec mandat de dépôt sont capables de ces manœuvres contre le PR. L’OCRC n’a qu’à aller au fond de cette affaire”.

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