Corruption et blanchiment présumés : un homme d’affaires interpellé dans l’affaire Richard Boni Ouorou

Une nouvelle arrestation vient relancer l’affaire de corruption autour de l’obtention du récépissé provisoire du parti LE LIBERAL. Achille T., figure bien connue du monde des affaires pour sa fortune et sa discrétion, a été interpellé ce vendredi par la Brigade économique et financière (BEF).

Son nom apparaissait déjà de façon récurrente dans l’enquête visant Richard Boni Ouorou, le chef du parti, lui-même arrêté la veille. D’après les informations de Le Potentiel, les autorités judiciaires s’intéressent de près aux relations étroites entre Achille T. et le président de LE LIBERAL.

Mais les soupçons ne s’arrêtent pas à de simples faits de corruption. Des éléments concernant un possible blanchiment de capitaux sont également examinés par les enquêteurs. Achille T. a été placé en garde à vue dès son arrestation, et pourrait, selon nos sources, être présenté au procureur spécial de la CRIET en même temps que son proche, Richard Boni Ouorou.

L’affaire pourrait connaître d’autres rebondissements. Une source proche du dossier laisse entendre que plusieurs personnalités, aussi bien du secteur privé que de l’administration publique, pourraient à leur tour être interpellées au fur et à mesure de l’évolution de l’enquête.

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