À Dassa-Zoumè, dans l’arrondissement de Soclogbo, un paysan s’est vu arracher sa femme par un enseignant sans scrupules. Profitant de la vulnérabilité de la femme, qui travaille comme cuisinière dans la cantine de l’école où il officie, l’enseignant n’a eu aucun mal à la convaincre de céder à ses avances. Le pot aux roses a été découvert par le mari.
Selon les témoignages recueillis par Le Potentiel, l’enseignant contactait régulièrement la femme mariée tard dans la nuit pour des rendez-vous discrets. Soupçonnant l’infidélité, le mari aurait confronté l’enseignant devant le directeur de l’école, mais ce dernier aurait tout nié en bloc.
Mais l’affaire a pris une tournure encore plus inquiétante lorsque le mari a découvert que son épouse avait été soumise à des rituels traditionnels qui seraient pratiqués par l’enseignant dans le but de l’empêcher d’avoir tout contact intime avec sa femme. Face à la pression, la femme a fini par avouer sa liaison, expliquant que l’enseignant lui avait promis des avantages matériels et un soutien pour elle et ses enfants.
Malgré la proposition du mari, qui espérait restaurer leur union par des rites de purification, son épouse a catégoriquement refusé, préférant poursuivre son aventure avec l’enseignant. Une décision qui semble donner raison à ce dernier, déjà connu dans la localité pour des pratiques similaires.