Le conflit entre Israël et l’Iran vient de franchir un nouveau cap. Dans la nuit du 12 au 13 juin 2025, l’armée israélienne a mené une vaste opération militaire contre plus de 100 sites stratégiques en Iran, visant notamment des installations nucléaires, des bases militaires et des centres de commandement. Plusieurs hauts responsables iraniens auraient été tués dans ces frappes, selon les médias internationaux.
Cette attaque, qualifiée d’opération préventive par Tel-Aviv, a provoqué une riposte immédiate de l’Iran, qui a lancé des missiles et des drones contre des cibles en Israël. Le monde retient son souffle face à cette escalade qui pourrait embraser toute la région.
🗣️ Donald Trump réagit : « Une frappe excellente »
Le président américain Donald Trump a salué l’opération israélienne en des termes sans ambiguïté. Dans un communiqué relayé par plusieurs médias américains, il déclare :
« C’était une frappe excellente. Il y en aura d’autres. »
Appelant l’Iran à ne pas s’entêter dans l’escalade, il a lancé un avertissement :
« L’Iran doit faire un accord… Faites-le, avant qu’il ne soit trop tard. »
Sur sa plateforme Truth Social, il a ajouté :
« Il y a déjà eu beaucoup de morts et de destructions. Les prochaines attaques prévues sont encore plus brutales. »
Tout en affirmant qu’Israël « a les armes les plus puissantes au monde » et « sait s’en servir », Trump laisse entendre que les États-Unis pourraient intervenir si l’Iran persiste à défier les avertissements.
⚖️ Une prise de position qui divise
Si certains de ses alliés conservateurs saluent sa fermeté, d’autres membres de son propre camp, notamment dans le mouvement « America First », dénoncent une posture trop belliciste. Ils estiment que Trump devrait plutôt défendre la non-intervention des États-Unis dans les conflits étrangers.
🌍 Quelle suite ?
Alors que l’ONU et plusieurs pays européens appellent à la désescalade, la situation reste extrêmement tendue. L’Iran a promis de « venger » ses morts, tandis qu’Israël maintient ses forces en alerte maximale. Quant à Trump, il semble vouloir jouer un rôle central dans cette crise, mêlant calcul électoral et stratégie diplomatique.
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